Les dirigeants européens ont fait part, jeudi 25 mars, de la disponibilité de l’Union européenne à s’engager de manière « progressive, proportionnée et réversible » avec la Turquie.
« Nous pensons que l'immobilisme n'est pas une réponse, mais que nous avons besoin de contacts avec la Turquie à tous les niveaux et de parler de la controverse, mais aussi de l'intérêt commun », a résumé la chancelière allemande, Angela Merkel, à l'issue de la visioconférence.
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