La Commission européenne a estimé, jeudi 10 octobre, que les plans de la Grèce visant à soutenir la réduction des prêts improductifs de ses banques ne comportaient pas d'élément d'aide d'État.
Le régime de protection des actifs ('Hercules') prévoit de rémunérer l'État grec aux conditions du marché en contrepartie du risque qu'il supportera en octroyant une garantie sur des prêts improductifs titrisés. Lorsqu'un État membre intervient, comme le ferait un investisseur privé,...