Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a dû se défendre, vendredi 15 décembre, de ses prises de position sur les dispositifs de relocalisation des demandeurs d’asile, qu’il avait qualifiés un peu plus tôt dans la semaine d’inefficaces.
Le président du Conseil s’était ainsi attiré les foudres du commissaire aux Migrations Dimitris Avramopoulos, qui avait jugé « inacceptable » et « anti-européenne » son intention d’ouvrir un nouveau débat sur ces...