Contrairement à ce qui avait été annoncé avant la réunion du comité PAFF d'experts nationaux, il n’y a pas eu de vote, mardi 30 mai, sur les critères permettant de définir un perturbateur endocrinien. La raison ? Le tout nouveau gouvernement français d’Emmanuel Macron aurait réclamé plus de temps pour définir sa position.
« La Commission n’a pas changé ses plans : elle avait seulement indiqué qu’un vote était ‘possible’ », se défend une porte-parole de la...