La proposition danoise consistant à autoriser les perturbateurs par conception ('growth regulators') à condition de les étiqueter et de les évaluer comme des perturbateurs endocriniens pourrait bénéficier de moins de soutien que nous l’avions laissé entendre (EUROPE 11767).
Une troisième source proche du dossier nous a en effet indiqué que, contrairement à ce que nous affirmions, l’Allemagne, l’Irlande et le Royaume-Uni n’avaient pas apporté leur soutien à cette...