Un compromis «décent » est possible entre Athènes et ses créanciers institutionnels d'ici au 20 février, lors de la prochaine réunion de l'Eurogroupe, à condition que soient levées les demandes «irrationnelles » de certains acteurs comme l'Allemagne et le FMI, a déclaré le ministre grec des Affaires européennes, George Katrougalos, jeudi 9 février à quelques journalistes.
De passage à Bruxelles où il a participé mardi au Conseil 'Affaires générales', M. Katrougalos a...