Bruxelles, 07/05/2015 (Agence Europe) - Les personnes soupçonnées ou accusées d'un crime ou faisant l'objet d'un mandat d'arrêt européen ne pouvant pas se permettre un avocat ou une procédure judiciaire devraient avoir accès à un financement de leur État membre et à une assistance tant pour l'aide juridictionnelle « provisoire » qu'« ordinaire », ont tranché les membres de la commission des libertés civiles, mercredi 6 mai.
Ils ont amendé une proposition de directive...