Bruxelles, 30/10/2013 (Agence Europe) - Berlin n'a pas semblé emballée, mercredi 30 octobre, par la proposition faite deux jours plus tôt à Madrid par le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, de subordonner le temps supplémentaire accordé aux États pour réduire leur déficit à « l'application concrète de réformes ». Martin Kotthaus, porte-parole du ministre allemand des Finances, Wolfgang Schaüble, cité par l'AFP, a déclaré ne pas savoir « quelle forme concrète...