Saint-Pétersbourg, 06/09/2013 (Agence Europe) - Le sommet du G20 n'a pas permis de faire bouger les lignes entre les partisans et les opposants à une intervention militaire en Syrie.
D'accord pour condamner la barbarie des actes commis, les leaders mondiaux ne s'entendent pas sur la nature de la réponse à apporter. M. Poutine a clairement évoqué deux camps: d'un côté, les États-Unis, la France, la Turquie, le Canada, l'Arabie Saoudite et le Royaume-Uni sont favorables à une action...