Bruxelles, 12/03/2012 (Agence Europe) - Le chef de l'État français Nicolas Sarkozy plaide pour la préférence européenne dans les marchés publics, en attendant la réciprocité dans l'ouverture des marchés tiers.
« Le libre-échange, oui. La concurrence déloyale non. L'Europe qui ouvre tous ses marchés publics quand d'autres n'en ouvrent aucun, c'est non. Agir ainsi, ce n'est pas accepter le libre-échange, c'est accepter d'être une Europe passoire », a expliqué le président...