Bruxelles, 10/03/2010 (Agence Europe) - Au risque que l'accord commercial anti-contrefaçon, l'ACTA, négocié secrètement depuis 2007 entre l'UE et l'Australie, le Canada, la Corée du Sud, les États-Unis, les Émirats arabes unis, le Japon, la Jordanie, le Maroc, la Nouvelle-Zélande, Singapour et la Suisse, subisse le même sort que l'accord SWIFT, la Commission européenne, qui négocie l'ACTA au nom de l'UE, devra, à l'avenir, garantir davantage de transparence sur ce dossier....