Bruxelles, 26/02/2010 (Agence Europe) - L'inaction du pouvoir castriste visant à empêcher la mort, mardi dernier, du prisonnier politique cubain Orlando Zapata Tamayo à l'issue d'une grève de la faim a été condamnée avec retard par les instances européennes. Critiqué pour son silence au niveau national, le Premier ministre espagnol José Luis Rodríguez Zapatero a exigé, jeudi 25 février, que La Havane « rende la liberté aux prisonniers de conscience et qu'il respecte les Droits...