Le vrai objectif de Tony Blair. Les pessimistes ont eu, une fois de plus, raison. Ce n'est pas tellement l'échec en lui-même de la négociation sur les nouvelles perspectives financières qui est grave, car cette négociation est difficile par sa nature et prend chaque fois une tournure désagréable, et il est déjà arrivé qu'un sommet supplémentaire soit nécessaire pour aboutir à un accord. Non, ce qui est grave est que la crise de la Constitution et l'affaiblissement de la France...