La zone euro n'est pas responsable des difficultés américaines et britanniques. Dans le continent européen, on commence à en avoir assez. La suprématie de la langue anglaise, compréhensible et inéluctable, a eu comme résultat que l'opinion publique continentale a été envahie ce jeudi d'informations en provenance de Londres et des États-Unis (et en partie d'Asie), à propos du comportement des autorités responsables de la gestion de l'euro. On dirait, à les lire, que si le monde...