Strasbourg, 15/09/2009 (Agence Europe) - Bien qu'il ne veuille pas « tout réduire à une question de personne », le président du groupe S&D a vivement critiqué, mardi 15 septembre en marge de la session à Strasbourg, le candidat Barroso qui s'apprête à être élu par une majorité relative qui comprend le PPE, l'ELDR et les conservateurs eurosceptiques polonais, tchèques et britanniques. Si l'important, aux yeux de Martin Schulz, c'est l'orientation de la Commission pour ou contre...