Une « guerre de religion » ? La controverse sur le comportement des banques et sur le régime à leur imposer a presque pris une allure de guerre de religion, non seulement dans les milieux concernés et de la part des commentateurs mais aussi chez les autorités politiques qui définissent des orientations ou qui doivent prendre des décisions. Dans l'UE, les critiques contre les banques de la part, par exemple, du président français Nicolas Sarkozy ou du ministre italien Giulio...