Maintenant, les difficultés commencent. Après le succès de la médiation du mois dernier qui avait permis l'arrêt du conflit armé entre la Russie et la Géorgie, le Sommet extraordinaire de lundi a représenté un pas en avant significatif de la politique étrangère de l'UE, et Nicolas Sarkozy a eu raison de souligner la différence par rapport au Sommet analogue de 2003 sur la question irakienne, lorsque l'UE était apparue désunie et donc inaudible (voir notre Édition spéciale...