Bruxelles, 29/02/2008 (Agence Europe) - L'acceptation par l'énergéticien allemand E.ON de la vente de son réseau de transport à un opérateur qui n'a aucun intérêt dans la génération d'électricité et de la cession de plusieurs centrales (pour une capacité totale de 4 800 MW) à des concurrents met à mal la coalition des huit Etats membres qui, emmenés par l'Allemagne et la France, s'opposent farouchement à l'option de la séparation patrimoniale (ownership unbundling) des...