Bruxelles, 06/02/2002 (Agence Europe) - Quelques jours de répit ont été accordés aux autorités du Zimbabwe, menacées par l'Union de sanctions ciblées si les conditions d'un scrutin libre, transparent et équitable ne sont pas réunies lors des élections présidentielles des 9 et 10 mars. Considérant que le régime de Robert Mugabe « n'a pas empêché le déploiement des observateurs de l'Union », selon les termes d'Emma Udwin, porte-parole du Commissaire aux Relations extérieures...