Les représentants des États membres devaient à nouveau se pencher, mardi 17 mai, sur des amendements à la réforme du Code Schengen sur la base d’un nouveau compromis partiel de la Présidence française du Conseil de l’UE.
Ce compromis continue de modifier les aspects liés à l’instrumentalisation des migrants, aux arrivées de voyageurs dans l’UE en temps de pandémie ainsi qu’aux modalités de transferts de migrants de pays membre à pays membre dans le cadre de contrôles...