« Il y a des points de convergence très forts sur l'outil anti-coercition », a estimé le ministre français du Commerce, Franck Riester, lundi 14 février à Marseille, lors d'une réunion informelle avec ses homologues européens. À cette occasion, les ministres ont rappelé leur soutien en faveur de l'instrument en cours de discussion au Parlement européen et au Conseil de l'UE (EUROPE B12849A1).
Certains ont toutefois exprimé leurs inquiétudes sur cette proposition...