Tous les eurodéputés, excepté ceux de l'extrême droite, jugent crucial qu'une aide vitale soit apportée aux 2 000 migrants toujours coincés à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, mais sont toujours divisés sur la nature première de la crise. Pour la droite, il s'agit d'une crise migratoire et d'une attaque hybride contre l'UE ; pour la gauche, c'est avant tout une crise humanitaire.
Cette division était flagrante, mardi 23 novembre, dans le débat sur les conclusions...