À l’ouverture du sommet du G20 à Osaka, vendredi 28 juin, l’UE était pleinement mobilisée pour tenter d’éviter que cette réunion des dirigeants des plus grandes économies mondiales n’accouche d’une souris, s’agissant de l’ambition climatique dans un cadre multilatéral.
En effet, le climat s’annonçait comme l’un des sujets les plus brûlants, eu égard aux tentatives de Donald Trump de convaincre d’autres pays -l’Australie, le Brésil, la Turquie et l’Arabie...