Plusieurs ONG ont dénoncé, lundi 18 mars, les conditions de vie des réfugiés abrités sur les îles grecques à l’occasion des trois ans de la déclaration UE-Turquie (EUROPE B11515A1), en vertu de laquelle Ankara acceptait - en échange de fonds européens pour les réfugiés pris en charge sur le sol turc - d’empêcher les passages vers l’UE et de reprendre sur son territoire toute personne arrivée irrégulièrement sur les côtes grecques, y compris les Syriens.