Le Parti populaire européen (PPE) devait à nouveau avoir, mercredi 17 octobre, en amont du Conseil européen, une discussion « de famille » - comme l’a dit son président, Joseph Daul - sur l’appartenance au parti du Fidesz de Viktor Orbán. Une appartenance qui divise le PPE, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, ayant lui-même déjà fait savoir que, selon lui, l’homme fort de Budapest n’avait plus sa place dans la famille de centre droit.
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