La Commission sera « brutale » s’il le faut dans son évaluation de la situation de l’État de droit et de la justice en Roumanie et n’hésitera pas à utiliser tous les instruments en sa possession, à commencer par les procédures d’infraction.
C’est l’engagement qu’a pris, mercredi 3 octobre à Strasbourg, le premier vice-président de la Commission chargé des Droits fondamentaux, Frans Timmermans. Il s’exprimait devant les eurodéputés inquiets des successives...