Les critiques fusent au lendemain de l’audition du patron de Facebook au Parlement européen et ciblent autant le manque de précision des réponses de Mark Zuckerberg que le format choisi. La question, mercredi 23 mai, est : à qui la faute ?
Mardi soir, les présidents des groupes politiques ont interrogé M. Zuckerberg pendant plus d’une heure, ne lui laissant qu’une dizaine de minutes pour répondre, après qu'il a pu lire une déclaration introductive (EUROPE 12024).