Plusieurs ministres européens se sont montrés assez circonspects à leur arrivée au Gymnich, jeudi 15 février à Sofia, concernant de possibles frappes françaises en Syrie. La veille, le président français Emmanuel Macron avait annoncé que, si la France avait « des preuves avérées que des armes chimiques proscrites sont utilisées contre les civils » en Syrie par le régime, elle « frapperait ».
« Le terme ‘ligne rouge’ devrait toujours être utilisé avec prudence...