La Pologne et le gazier polonais PGNiG n'ont pas prouvé l'imminence d'un préjudice grave et irréparable qui résulterait de l'ouverture à la concurrence de la moitié non utilisée de la capacité du gazoduc OPAL, a estimé le Tribunal de l'UE (TUE) dans des ordonnances prononcées vendredi 21 juillet (affaires T-849/16 R, T-833/16 R et T-130/17 R).
À la demande de l'agence allemande des réseaux, la Commission européenne avait décidé, en octobre 2016, d'ouvrir à la concurrence...