La semaine s’annonçait calme. L’UE se félicitait de sa « totale unité » affichée sur les lignes directrices du Brexit, et le Royaume-Uni se laissait distraire par ses prochaines élections législatives.
Pourtant, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a été contraint d’intervenir en appelant à « la discrétion, la modération, le respect mutuel et un maximum de bonne volonté », après les propos animés échangés entre Londres et Bruxelles.
Le Premier ministre...