Les autorités grecques et les créanciers institutionnels du pays ont marqué un accord de principe, mardi 2 mai à Athènes, sur le détail des réformes que la Grèce appliquera après 2018 pour maintenir un excédent budgétaire primaire (hors service de la dette) de 3,5% du PIB jusqu'en 2021.
« Il y a eu une fumée blanche », s'est félicité le ministre grec des Finances, Euclid Tsakalotos. Le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a accueilli favorablement cet accord...