Critiqué comme il l’avait déjà été en 2011 et 2012 au plus fort de la crise entre l’UE et Budapest pour de nombreuses réformes controversées, l’homme fort du Fidesz et dirigeant du gouvernement hongrois, Viktor Orbán, est venu défendre mercredi son action devant le Parlement européen et expliquer le principe de certaines nouvelles lois à nouveau décriées.
L’enfant terrible du PPE, qui fera d’ailleurs l’objet d’une discussion samedi matin au congrès du PPE en...