La Commission européenne a rejeté, jeudi 3 novembre, les allégations de l’ONG Amnesty International selon lesquelles la politique de l'UE appliquée dans ses centres d'accueil et d'enregistrement ('hotspots') conduirait à des dérives, la police italienne se livrant à des actes de torture et des violences sexuelles.
Selon Amnesty, les coups physiques, les chocs électriques et les humiliations à caractère sexuel font partie des nombreux témoignages recueillis dans les 'hotspots'...