L'Autriche, d'où planait la menace la plus sérieuse d'un veto à la signature de l'accord de libre-échange UE/Canada (CETA), ne devrait pas y faire obstacle : le chancelier autrichien, le social-démocrate Christian Kern, a jugé, lundi 3 octobre, que ce processus était sur les « bons rails », se montrant contre la tenue d'un référendum dans son pays.
Un référendum « n'est pas tout à fait déraisonnable, mais je ne pense pas que ce soit la bonne façon », a déclaré M....