Strasbourg, 24/04/2012 (Agence Europe) - « Nous ne sommes pas un tribunal mais une assemblée libre qui a le droit de travailler à la recherche de la vérité ». Par ces mots, Tineke Strik, membre du groupe socialiste à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) a voulu couper court aux attaques italiennes, espagnoles et maltaises qui ont marqué les débats sur 'Les vies perdues en Méditerranée', rapport dont elle est l'auteur et qui a abouti à l'adoption d'une...