Bruxelles, 09/09/2011 (Agence Europe) - Ce traité aurait dû s'appeler « constitutionnel », et entraîner la création du poste de « ministre des Affaires étrangères de l'Union », mais son processus tourmenté de ratification a exigé « de nombreuses concessions, de nature essentiellement formelle ». C'est ce que note Pietro Calamia, ancien représentant permanent de l'Italie auprès des Communautés européennes, dans « Le Traité de Lisbonne- Un regard rétrospectif' publié dans...