Le président du Conseil européen, Charles Michel, a estimé, vendredi 15 décembre, à l’issue d’un sommet lors duquel les dirigeants de l'Union européenne se sont penchés sur la situation au Proche-Orient, que «l’UE (devait) être engagée, autant que possible, pour tenter de porter une voix qui ait un impact sur ce conflit ».
Une voix difficile à faire entendre alors que les Vingt-sept sont divisés notamment sur la question d'un cessez-le-feu humanitaire à Gaza ou sur des...