Bruxelles, 15/07/2008 (Agence Europe) - Malmené par le chef de l'État français Nicolas Sarkozy, qui l'a accusé de « sacrifier », dans les négociations de Doha, « les intérêts de l'Europe sur l'autel du libéralisme » (EUROPE N° 9694-9695), Peter Mandelson peut se réjouir, à la veille de la réunion ministérielle OMC du 21 juillet, du soutien des États membres « libre-échangistes ». Dans les colonnes du Herald Tribune du 14 juillet, les ministres du Commerce d'Estonie, de...