Luxembourg, 04/07/2007 (Agence Europe) - Le Tribunal de première instance, dans un arrêt rendu mercredi 4 juillet (affaire T-475/04), a jugé que l'État français n'a pas violé le Traité CE par son mode d'attribution des licences de communication de téléphone mobile de troisième génération.
En 2000, le gouvernement français n'a pu attirer que deux candidatures pour l'introduction des systèmes de communications mobiles et sans fil (UMTS, Universal Mobile Telecommunications...