Equilibre difficile pour Pascal Lamy. À la lumière des remarques formulées dans cette rubrique du 30 juin sur les négociations UE/Mercosur et sur le "cycle de Doha" de l'OMC (dont on oublie trop souvent que la dénomination officielle est "cycle pour le développement"), Pascal Lamy se trouve dans une situation étrange. Il appuie avec fermeté le multilatéralisme dans la gestion des affaires mondiales et il estime que l'UE doit donner le bon exemple, notamment en respectant avec...