Bruxelles, 27/06/2003 (Agence Europe) - « Si tout va bien, l'Europe aura, dans deux ans et demi ou trois ans, un président stable, un ministre des Affaires étrangères (…) , un Parlement européen qui légiférera, une justice transfrontalière », a estimé Valéry Giscard d'Estaing , président de la Convention européenne. A ce moment-là, les sceptiques d'aujourd'hui « oublieront qu'ils l'ont été », comme l'ont fait ceux qui ne croyaient pas que l'euro pourrait réellement...