Le président français, Emmanuel Macron, a estimé nécessaire, lundi 28 août à Paris, de « prendre des risques » en vue de proposer une réforme de la gouvernance internationale - « en particulier du FMI et de la Banque mondiale » - qui pâtit d'une « crise de représentation ».
Désireux de mieux impliquer les pays émergents sous-représentés, il a indiqué qu'il proposerait à ses homologues européens de « travailler à des formats nouveaux avec l'Inde, le Brésil, l'Afrique...