Si la Russie décidait d’interrompre ses livraisons de gaz à l’Union européenne ou que celle-ci décidait d’introduire un embargo sur le gaz russe pour soutenir l’Ukraine, il devrait être possible de remplacer le gaz russe dès l’hiver prochain sans que l’activité économique soit dévastée, que les gens aient froid ou que l’approvisionnement en électricité soit perturbé, estime le centre de réflexion (think tank) Bruegel, dans une analyse publiée le 28 février.