Les eurodéputés ont redit leur colère à la Commission et à la Présidence française du Conseil de l’UE, mardi 15 février, mais aussi leurs inquiétudes quant aux pratiques d’écoutes illégales de journalistes, opposants politiques, juges ou acteurs de la société civile au moyen de logiciels espions comme le logiciel israélien Pegasus.
Ils ont souligné à cette occasion la nécessité pour le PE de se doter d’une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur...