S’entretenant avec EUROPE un an exactement avant le jour du Brexit (et un an après que le gouvernement britannique a envoyé la lettre d’activation de l’article 50 à Bruxelles), l’ancien Premier ministre irlandais, M. Bruton, estime que le temps presse, si l’on espère encore conclure un bon accord sur le Brexit.
Selon lui, la date limite fixée à deux ans par l’article 50 – période au cours de laquelle un traité de retrait et un cadre pour les futures relations...