Le gouvernement néerlandais a confirmé, mercredi 23 août, qu’un second insecticide, l’amitraze, avait été utilisé par Chickfriend, le prestataire de services incriminé dans l'affaire des œufs contaminés au Fipronil. Les autorités françaises ont réagi le lendemain en indiquant ne pas avoir reçu cette information via le système européen d’alerte rapide (RASFF).
Le scandale avait débuté en juin après que du Fipronil, un insecticide interdit pour les animaux susceptibles...