Le refus du président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, de participer, mardi 4 avril à Strasbourg, à un débat en session plénière du Parlement européen sur les négociations en cours entre Athènes et ses créanciers institutionnels est resté en travers de la gorge des députés européens de tout bord politique.
Motivé par des contraintes d'agenda, ce refus intervient quelques jours après des déclarations clivantes et sexistes du ministre néerlandais des Finances. Celui-ci...