« Pas moins d’intégration et pas plus d’intégration », mais une Union qui fonctionne mieux et qui reste unie : c’est le postulat défendu par le groupe de Visegrád en vue du sommet de Rome (25 mars) et sa contribution au débat sur l’avenir d’une Union à vingt-sept États membres.
Les chefs d’État ou de gouvernement des quatre pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) se sont retrouvés à Varsovie, jeudi 2 mars, pour fixer une...