Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a semblé, une nouvelle fois, tendre la main aux pays du groupe de Visegrad (Pologne, Slovaquie, République tchèque et Hongrie) sur la question de la relocalisation obligatoire des demandeurs d’asile. Au cours de la session plénière du Comité économique et social européen (CESE), jeudi 22 septembre, il a en effet déclaré que si « certains pays ne pouvaient pas » les accueillir, alors il faudrait « qu'ils...