Les propositions de la Commission européenne sur les perturbateurs endocriniens suscitent de nombreuses réactions, tant de la part des parties prenantes que des États membres. Les divisions sont patentes, y compris au Conseil où certains États membres - comme la Suède, le Danemark et la France - réclament des règles plus strictes et d’autres – comme le Royaume-Uni – une prise en compte du critère de puissance de l’agent.
Pour rappel, la Commission avait proposé,...